... "Il fatto è che quest'uomo (Sua Emittenza) inquina talmente la vita italiana nella sua interezza da costringerci a votare per Veltroni, pur se non convinti, perché è l'unico vero oppositore".
(Berlusco & Mozzarella Show)
Which one of Mouammar and Carla match up better to the President's fancy...
Human Rights Day 2007 marks the start of a year-long commemoration
of the 60th anniversary of the Universal Declaration of Human Rights.
Pourtant, en France, on reçoit en fanfare
Le Prédateur !
... et il y a aussi l'affaire Guillaume Dasquié.
Cofondateur de geopolitique.com, Guillaume
Dasquié, mis en examen pour divulgation
d'informations secret défense, s'explique chez
Paul Amar, dans Revu & Corrigé, sur France 5...
Oui, ce nom serait mieux approprié.
Ce soir j'ai négligé mon Mac pour suivre avec beaucoup d'intérêt l'excellent magazine de Elise Lucet, Lionel de Coninck et Hervé Brusini.
Suivant les nouvelles directives, la police traque désormais les clandestins, sans exception.
Même ceux qui malgré tout travaillent, côtisent à la sécu et payent leurs impôts, ont plus que jamais intérêt à raser les murs pour se rendre sur leur lieu de travail car la chasse est ouverte et les contrôles fréquents. Il s'agît d'en expulser au moins 25000, fissa, de désintégrer justement ceux qui avaient réussi à s'intégrer - ce qui déjà n'était pas une mince affaire.
Le petit Jésus va bientôt renaître pour la énième fois, mais des gens moins égaux que d'autres continuent de mourir de trouille dans leur chaumière, dans le pays des libertés, à l'idée de se retrouver dans un centre de "rétention" avec vue sur le tarmac d'un aéroport.
Je ne rentrerai pas dans le détail des conséquences de cette méthode car je viens d'entendre Thierry Mariani, le rapporteur des lois sur l'immigration et j'ai besoin d'un whisky bien tassé.
La post-Présidence n'est pas toujours de tout repos.
Le pire c'est que juste au moment où on aurait le plus besoin de paix et de tranquillité,
après une vie bien remplie, on vient vous reprocher des peccadilles, des erreurs de
jeunesse et que sais-je encore...
L'ex-Président de la République, entendu ce matin par
une juge du pôle financier du tribunal de Paris, a été mis
en examen pour «détournement de fonds publics» dans
l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris. (suite)
Silvio : ... t'en fais pas, je connais, ce n'est qu'un mauvais
moment à passer. Moi, ça me stimule, ça me donne bonne
mine, ça renforce mes bulbes capillaires et ça me rend plus
créatif... je viens même de me payer un nouveau parti !
The Economic and Financial Crimes Commission, on
wednesday, said that it would investigate allegations of
corrupt enrichment against former President Olusegun
Obasanjo. (Lagos' PUNCH)
Restez au courant avec Nigerian Curiosity de Solomon Sydelle.
"Aucun être humain ne peut prétendre à la perfection" a dit humblement M. Obasanjo, en
demandant pardon au peuple.
C'est si joliment dit que ses amis les plus proches feront des pieds et des mains pour le
tirer d'affaire.
Quant à M. Berlusconi, c'est un battant et grâce à son dynamisme, aux progrès de la
chirurgie esthetique, et à son amour pour l'argent et (aïe!) pour le peuple italien, il espère
encore que ses brébis égarées reviendront - en passant par les urnes - quitte à aller les
chercher sur le Tibre.
On aura tout de même passé de joyeux moments avec lui...
Je ne puis m'empêcher de suggérer, aux jeunes qui souhaitent réussir rapidement, la lecture de
l'excellent ouvrage de Elio Veltri et Marco Travaglio, "L'Odore dei Soldi" (L'Odeur de 'Argent/
The Scent of Money).
Réussite assurée ou remboursement du ticket d'achat garantis.
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Relents d'autodafés ou pragmatisme ?
(Toujours sur le site de L'Autre Campagne - c'est trop fort!)
Dans le journal gratuit "20 minutes" du 16 avril, figure une interview de Nicolas Sarkozy. Entre autres sujets, il y parle de l'université et prend pour exemple de filière inutile, et qui ne devrait plus être prise en charge par les fonds publics, l'enseignement de la "littérature ancienne" :
« Vous vous fixez comme objectif de ne laisser aucun enfant sortir du système scolaire sans qualifications. Comment comptez-vous parvenir à cet objectif ? Par exemple dans les universités, chacun choisira sa filière, mais l’Etat n’est pas obligé de financer les filières qui conduisent au chômage. L’Etat financera davantage de places dans les filières qui proposent des emplois, que dans des filières où on a 5000 étudiants pour 250 places.
Si je veux faire littérature ancienne, je devrais financer mes études ? Vous avez le droit de faire littérature ancienne, mais le contribuable n’a pas forcément à payer vos études de littérature ancienne si au bout il y a 1000 étudiants pour deux places. Les universités auront davantage d’argent pour créer des filières dans l’informatique, dans les mathématiques, dans les sciences économiques. Le plaisir de la connaissance est formidable mais l’Etat doit se préoccuper d’abord de la réussite professionnelle des jeunes. »
«Le Pen ne m'intéresse pas, son électorat, si»
Ne prenons pas à la légère ces déclarations du candidat de l’UMP. Pour lui, l’Etat n’a pas à assumer le prix de la culture.
Son jugement sur le « plaisir de la connaissance », opposé à l’utilité ou à la rentabilité érigées en principe politique, manifeste une ignorance et un mépris dangereux qui menacent le socle de toute société démocratique. Il avertit les artistes et les penseurs, nous écrivains, en particulier, du sort qu’il réserve à la culture, la littérature au premier chef, et à leur transmission par l’Education nationale Tous les chefs d’Etat, jusqu’ici : Charles De Gaule, Georges Pompidou, François Mitterrand comme Jacques Chirac ont, chacun à leur manière, exprimé leur attachement à l’héritage intellectuel et artistique qui fonde l’identité française. Ils ont écrit, se sont revendiqués de la poésie, du roman, de l’art.
Dans le contexte déjà alarmant que dénonce notre Appel Filières littéraires, une mort annoncée ?, la gravité de cette déclaration ne peut nous laisser d’illusions. Elle engage la communauté littéraire et éducative à se mobiliser.
26 avril 2007
L'AUTRE CAMPAGNE
Je ne peux pas voter - simple question de nationalité - mais je peux m'exprimer sur ce blog et, si je ne brandis pas avec entousiasme le drapeau Royal, je tourne energiquement mes deux pouces vers le bas (dans l'esprit panem et circenses) à la seule évocation de Sarkozy.
Je n'ai pas d'argumentation politique, ce n'est pas dans mes cordes et je le regrette régulièrement en période électorale, mais j'ai des oreilles et un instinct qui détecte sans faillir le danger. En France, dans le climat social actuel, donner le pouvoir à un tel homme équivaut à mettre le feux aux poudres et la riposte, on l'a compris, sera la répression pure et dure. Méfiance. Dans son discours, que beaucoup se plaisent à qualifier de pragmatique, je sens de forts relents de dogmatisme, pas vous ? Cet homme est "motorisé" par la pire espéce d'ambition, celle qui aspire au pouvoir tout court. Et ensuite ? Ne perdons jamais de vue les léçons de l'histoire. Mais avant de trop divaguer, je passe la parole au film de Thomas Lacoste "Réfutations" et aux 16 personnes qui, chacune dans son secteur, expriment leur craintes pour le futur immédiat, si Sarkozy est élu.
Le film est reparti en 4 vidéos, en ordre d'intérêt croissant, à mon avis.
REFUTATIONS, de Thomas Lacoste, avec la participation de Jeanne Balibar (comédienne), Monique Chemillier-Gendreau (juriste), Anne Debrégeas (Fédération Sud-Energie), Eric Fassin (sociologue), Hélène Franco (Syndicat de la magistrature), Susan George (économiste), Michel Husson (économiste), Bruno Julliard (Uunef), Christian Lehmann (médecin), Nacira Guenif-Souilamas (sociologue), Thomas Heams (Convention pour la 6e République), Richard Moyon (Réseau Éducation Sans Frontière), Thomas Piketty (économiste), Emmanuel Terray (ethnologue), Louis-Georges Tin (maître de conférence, CRAN), Alain Trautmann (Sauvons la Recherche) et le soutiens de Alterdoc, Bastamag.org, Charlie Hebdo, Confluences, Editions La Découverte, Les Inrocks, l’Humanité, Le Passant Ordinaire, Marianne, Politis, Mouvements, Regards, Témoignage Chrétien, Vacarme.
Mention requise : « Pour soutenir cette action, qui en appelle de nouvelles, vous pouvez acheter le DVD du film Réfutations sur le site www.lautrecampagne.org ou par chèque (10 euros) à l’ordre de l’Autre Association, 3 rue des Petites Ecuries, 75010 Paris. »
Check by yourselves on Tayo Odukoya's Break Of Down.
Besides, BHF Magazine (BHF stands for "Blessed and HighlyPit of darkness
By Amanze Obi
If it were possible for an average Nigerian to be shocked, many would have been
astounded by the way the 2007 general elections went. But because the people of
this country have acquired a very thick skin, their reaction to the electoral charade
we have just witnessed did not go beyond a mere shrug of shoulders.
The people were not perturbed because they did not expect otherwise.
Perhaps they would have been roused into some form of excitement if the elections
had followed the path of sanity.
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